Certains étudiants peinent à se trouver un emploi saisonnier. Une situation bien différente de celle d’il y a quelques années, alors que les employeurs rivalisaient d’imagination pour attirer la main-d’œuvre étudiante.
Selon l’Institut du Québec, le taux de chômage chez les jeunes qui retourneront aux études à l’automne est passé de 9 % à 13 % en un an. Ce ralentissement s’explique par une économie en perte de vitesse dans certains secteurs et une prudence accrue de la part des employeurs.
Alors que le marché de l’emploi se resserre, les petits boulots d’été pourraient bien redevenir des tremplins vers de grandes idées.