La grève des superviseurs de premier niveau à la Société de transport de l’Outaouais (STO) a causé une interruption du service d’une journée et demie.
Ce conflit, qui durait depuis près de trois ans, a finalement été réglé rapidement après l’intervention du directeur général, M. Leclerc.
Malgré cet accord, des tensions internes persistent et la gestion des négociations reste un défi.
Le Conseil canadien des relations industrielles est aussi pointé du doigt pour sa lenteur à intervenir.
Ce dossier souligne la nécessité d’un meilleur dialogue social dans le secteur public.
Écoutez le commentaire de l'ancien président québécois du SCFP, Marc Ranger sur le conflit à la STO avec l'animateur Michel Langevin.
«Le Conseil canadien a tardé à répondre, ce qui a prolongé inutilement la crise. La présence du directeur général à la table des négociations a permis de débloquer rapidement la situation.»