Dans La Planète Actualité, Michel a vivement réagi aux lourdes amendes imposées à des propriétaires de bâtiments patrimoniaux à Gatineau, soulevant un débat sur la rigidité des règles en vigueur.
Il reconnaît l’importance de préserver l’histoire, mais questionne l’obligation de reconstruire à l’identique, parfois à grands frais.
«Le patrimoine, c’est correct, mais est-ce que ça fait vraiment une différence si on ne met pas exactement le même bois qu’en 1943 ? La maison est-tu encore belle et habitable en 2025 ?»
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Il s’interroge aussi sur l’avenir de ces exigences à long terme.
«C’est quand que ça finit, le patrimoine ? Est-ce qu’il y a une date de péremption où on pourra enfin moderniser sans se faire pénaliser ?»
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