Ariane raconte le moment où elle a dû fuir un conjoint violent alors que sa fille n’avait que six mois.
Victime de violence psychologique, elle s’est retrouvée sans logement et a pu compter sur les ressources d’hébergement d’urgence pour femmes en Outaouais.
Ariane souhaite aujourd’hui sensibiliser le public et rappelle l’importance de parler de violence conjugale, souvent invisible. Elle participera à la vigile et à la marche du 6 décembre pour commémorer les victimes de l’attentat de Polytechnique et soutenir celles qui vivent encore l’abus.