Les fameux partys de Noël de bureau. Les entreprises investissent parfois jusqu’à deux millions de dollars pour ces événements.
Pourtant, les employés ne sont pas tous enchantés.
On apprend que 13 % des travailleurs se sentent obligés d’y aller, qu’un sur trois n’aime pas ça, et que 94 % préféreraient voir ce budget transformé en salaire.
On parle aussi des malaises bien réels : alcool, frictions, tentatives de flirt douteuses et situations pouvant même mener à la démission.
La chronique rappelle qu’un party de Noël demeure un contexte professionnel et qu’il faut conserver un comportement adéquat malgré l’ambiance festive. Bref, prudence, modération… et peut-être deux vodkas canneberge.
Écoutez la chronique de Samuel Glaude qui décortique les partys de Noël de bureau et leurs malaises.