En novembre, la santé mentale des travailleurs est mise à rude épreuve. Selon l’indice de TELUS, un employé sur quatre se sent déprimé et affirme que son état nuit à sa productivité.
Annie Boilard, présidente du Réseau Annie RH, explique que la baisse de luminosité, le changement d’heure et la diminution des activités extérieures contribuent à une morosité saisonnière.
Elle salue la campagne de la CNESST, qui illustre l’importance de traiter les blessures psychologiques comme les blessures physiques.
Pour mieux traverser cette période sombre, Boilard recommande des initiatives simples comme une “fête des voisins au travail” afin de renforcer les liens entre collègues, ainsi que des micro-pauses de 60 à 90 secondes pour se recentrer, respirer et bouger.
Une micro-pause de 60 secondes peut changer le reste d’une journée