À l’école Le Tremplin, dans Pointe-Gatineau, plusieurs enfants ne peuvent plus fréquenter les classes en raison d’une infestation de coquerelles provenant, selon la direction, de leur logement de la rue de la Savane.
Le propriétaire de l’immeuble, Mathieu Arsenault, affirme avoir lui-même appliqué des produits d’extermination « équivalents à ceux des professionnels ».
Mais selon Stéphane Villeneuve, directeur du service à la clientèle chez Régionex, un propriétaire ne peut pas s’improviser exterminateur : il faut détenir une licence, suivre des formations et respecter des normes strictes.
Il rappelle aussi qu’aucun pesticide, biologique ou non, ne peut être utilisé sur la nourriture ou dans des espaces où vivent encore les occupants.
En 30 ans de carrière, je n’ai jamais vu un pesticide qu’on peut utiliser sur la nourriture. Jamais