On pensait que la saga Pablo Rodriguez prendrait une pause pour les Fêtes, mais c’est loin d’être la cas. Une histoire d’enveloppes brunes avec 500$ en liquide a fait surface, mardi, dans Le Journal de Montréal.
De plus, La Presse a révélé en après-midi que l'homme d'affaires derrière cette pratique illégale était producteur et importateur de vin et de Porto.
Écoutez l'analyste politique Philippe Léger commenter ces plus récentes révélations au micro de Philippe Cantin.
L'analyste estime que ces dernières révélations sont celles de trop.
«Ça fait déjà cinq semaines que c'est commencé, la crise du Parti libéral du Québec. Depuis ce matin, on entend un peu partout l'expression suivante: “C'est la goutte de trop pour Pablo Rodriguez”. Moi, j'ai envie de dire que c'est une goutte de grêle, parce que ça fait encore plus mal que les autres gouttes qui sont tombées sur sa tête. Parce que l'histoire en tant que telle, c'est probablement l'histoire qui est la plus répréhensible au niveau légal parce que l'UPAC met son nez là-dedans.»
Les sujets discutés
- Utilisation de prête-noms et des enveloppes de 500 $ lors d’une soirée de financement;
- La légitimité de l’élection de Rodriguez à la chefferie est remise en question;
- On évoque les figures potentielles à la sucession de Rodriguez comme Charles Milliard et Karl Blackburn;
- Les vases communiquants entre le PLC et le PLQ.