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Utilisé en fin de match

«J'étais vraiment fier que le coach me fasse confiance» -Vincent Desharnais

«J'étais vraiment fier que le coach me fasse confiance» -Vincent Desharnais
Vincent Desharnais et Connor McDavid / Andy Devlin/NHLI via Getty Images

Comme ce fut le cas la saison dernière, les Oilers d'Edmonton ont franchi le premier tour éliminatoire des séries de la LNH, cette fois, à la suite d'un triomphe en cinq matchs contre les Kings de Los Angeles.

Pour l'occasion, l'animateur Mario Langlois accueille le défenseur québécois Vincent Desharnais qui a dû faire ses preuves auprès d'un nouvel entraîneur au cours de la campagne.

«Au début de la saison, il y a tout le temps des points d'interrogation. Je n'ai jamais vraiment joué une saison en haut de 60, 70 matchs. Il ne faut pas être trop dur sur moi-même. Ça va arriver certaines games que tu sens moins bien, que tu joues moins bien. Mais j'ai appris à juste laisser aller, puis à passer à la prochaine journée.»

«On n'a pas commencé la saison comme on aurait voulu, mais je pense que ça nous a aidés à bâtir notre caractère, notre identité. Puis, pour moi, le fait d'avoir la confiance de mes coéquipiers, la confiance des entraîneurs, ça me donne encore plus confiance. Puis ça me permet de performer, peut être d'être constant à chaque match.»

Comment Desharnais compare les Oilers qui attendent leur adversaire pour le prochain tour avec ceux de 2023, exactement au même moment, l'an dernier?

«Je pense qu'on est une équipe avec plus de maturité. On est une équipe plus calme aussi. Le noyau, la plupart des joueurs, c'est les mêmes. Chaque gars a pris de la maturité durant la dernière année. Face à l'adversité, on est plus calmes. Je pense qu'on l'a prouvé dans le match de 1 à 0. On ne paniquait pas. On restait confiants. Il n'y avait aucune panique, autant sur la glace que sur le banc. L'année passée, quand les matchs étaient serrés comme ça, on laissait des émotions un peu prendre le dessus dans nos réactions. On a géré nos émotions de bien meilleure façon.»

Et l'apport d'un vieux routier comme Corey Perry a aidé l'équipe.

«Un gars comme Perry, il sait ce que ça prend pour se rendre là (finale de la coupe Stanley). Il est très vocal. Il n'a pas peur de parler, puis, quand il parle, tout le monde l'écoute. Puis évidemment, Leon, Connor c'est des gars qui veulent gagner. Partout, ils ont gagné. C'est des winners, donc, ils sont prêts à faire tout ce qui est en leur pouvoir pour gagner.»

Et Desharnais a la confiance de son entraîneur qui l'envoie sur la patinoire quand ça compte. En fin de match, quand la marque est de 1-0...

«J'ai vraiment trippé pour vrai. C'était vraiment une super expérience. Le fun. Moi, c'est mon c'est bread and butter, comme on dit en anglais. J'étais vraiment fier que le coach me fasse confiance pour une situation aussi importante.»

On écoute Vincent Desharnais...

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