C'est une clause relative à la mobilité de la main-d'oeuvre qui serait en grande partie responsable du rejet de l'entente de principe conclue entre la Fédération interprofessionnelle de la santé et le gouvernement.
Les infirmières demandaient un plus grand respect de leurs compétences.
D'ailleurs, en Outaouais, les infirmières ont voté en faveur de l'entente à 54%.
On ne peut pas savoir qu'est-ce qui a le plus accroché.