Des intervenants et intervenantes de la DPJ se sentent oubliés par leur propre syndicat.
Membre de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux, l'APTS, ils disent que leurs demandes ne sont pas entendues.
Depuis la réforme Barrette de 2015, la mobilité du personnel a été permise à l'intérieur des centres intégrés de santé et services sociaux.
C'est donc dire que des intervenants ayant étudié en travail social peuvent postuler sur des postes en CLSC, par exemple, où la charge de travail est moins grande.
Le salaire est toutefois le même.
Alec Pinard, réviseur à la DPJ, a pris la parole au nom de ses collègues.