Pour sa chronique quotidienne avec l'animateur Luc Ferrandez, Jean-Luc Brassard parle notamment des médecins de vocation d'antan et de la réalité d'aujourd'hui.
Si, à une époque pas si lointaine, le patient avait une relation privilégiée avec son médecin. De nos jours, la situation a changé. On peut même parler d'une forme de déshumanisation.
«On essaie d'appeler quelqu'un, on ne parle même plus à une personne. On parle à des numéros. Les personnes âgées, appuyez sur le 2, le 3, le 12, le 16, le 24... Le complémentaire. On a perdu notre sentiment d'appartenance à nos institutions, parce qu'on essaie de centraliser à l'extrême.»
On écoute Jean-Luc Brassard...