Pierre-Yves McSween se plait à constamment mettre à jour les plus et les moins du travail à distance.
« Je pense aux nouveaux travailleurs: on les voit comme des robots et je voudrais qu'on ait une pensée pour eux ce matin. On a une vision courte vue, mais on a aussi une vision qui manque d'empathie. »
« On oublie que ce que c'était. Je me ramène à l'époque où je rentrais au bureau et j'avais besoin d'une chose: la présence rassurante d'un mentor. Pas la présence par téléphone ou par visioconférence, quelqu'un qui était là, pas loin, à qui je pouvais poser des questions 23 fois par jour. »