Le manque d'infrastructures et de logements constitue le principal enjeu selon le directeur général du Centre d'intervention et de prévention en toxicomanie de l'Outaouais.
Yves Séguin estime d'ailleurs que cette précarité exacerbe les problèmes de consommation de drogues :
Les gens ce qui demande quand on les rencontre, c'est d'avoir plus de lits d'hébergement en attendant qui aille du logement, mais aussi des ressources ou par exemple une place à l'intérieur pour manger un repas, prendre une douche... Quand on n’est pas capable d'offrir ça comme société, le découragement embarque et les gens vont surconsommer. C'est ça qui m'inquiète.