Une étudiante en enseignement à l'Université du Québec en Outaouais lance un cri du coeur.
Mathilde Laliberté dénonce les exigences du test de certification en français écrit pour l'enseignement.
Après avoir obtenu 63% à ce test, soit 7% sous la note de passage, elle se voit obliger de mettre ses études sur pause, et elle n'est pas la seule dans cette situation.
L'aspirante enseignante déplore que cet examen ne soit pas adapté à notre époque...
Cet examen là, c'est tellement du par cœur et ce par cœur là n'évalue même pas nos compétences dans le métier. C'est ça qui est fâchant. On coule cet examen là, mais il ne nous définit même pas comme enseignant. Ça nous demande des expressions, des définitions que, en tant qu'enseignant, on n'aura même pas à enseigner ça à nos élèves.