L'agresseur sexuel Michel Giroux emprisonné pour une série de viols sur de jeunes femmes qu’il droguait au GHB croit mériter une semi-liberté, même s’il continue de minimiser ses crimes.
Le Journal de Montréal rapporte que lors de son audience mardi devant la Commission des libérations conditionnelles, Giroux a expliqué qu'il ne contactait pas les victimes pour les droguer, mais qu'il voulait juste avoir du plaisir.
Il a précisé que dans la vie de tous les jours, il avait beaucoup de respect envers les femmes.
L’homme de 30 ans est un violeur en série qui a fait au moins 7 victimes en 6 mois, en 2018.
Il ciblait les jeunes femmes de la région de Gatineau, après les avoir contactées via des applications de rencontre ou directement dans des bars, pour les ramener chez lui.