En ce jour un de la grève des gestionnaires de premier niveau, la STO dit travailler à former des cadres pour remplacer les inspecteurs et régulateurs.
La priorité absolue est le rétablissement des lignes scolaires intégrées, qui touche 4 000 élèves, ce qui devrait être fait cette semaine.Concernant les négociations, elle a réitéré l'offre de la STO : 23 % sur sept ans, garantissant une rémunération globale de 135 000 $en 2026.
Elle a qualifié d'« essentielle » la valeur des gestionnaires, tout en rejetant l'information selon laquelle l'écart de négociation ne serait que de 250 000$ par an, affirmant que l'écart se chiffre en millions de dollars.
«C'est comme quand on arrive à l'aéroport, on voit les pilotes puis on voit les avions, mais on ne voit jamais les contrôleurs aériens. Et pourtant, il y aurait personne qui oserait faire voler un avion sans contrôleur aérien.»
Écoutez la porte-parole, José Lafleur, qui répond aux questions de l’animateur Louis-Philippe Brulé.