Le directeur général de l'organisme Réhabex tient à faire une mise au point entourant le projet de centre de proximité pour les personnes en situation d'itinérance dans le Vieux-Gatineau.
Selon Patrick Pilon, le site de l'ancienne cordonnerie, souvent évoqué par la mairesse, n'est pas idéal en raison de son coût élevé et de l'anxiété que cela génère chez les résidents à proximité.
Dans le cadre de sa chronique avec LP Brulé, il déplore aussi une décisision de la Commission des libérations conditionnelles qui a récemment refusé le pardon à un homme pour un délit commis il y a une quarantaine d’années, sous prétexte qu'il a reçu un constat de vitesse pour avoir dépassé la limite permise de 11 km/h…
Écoutez la chronique de Patrick Pilon, directeur général de Réhabex, en compagnie de Louis-Philippe Brulé.