Il y a eu une augmentation rapide du nombre d’infirmières (de 149 en 2018-2019 à 344 aujourd’hui) et de médecins quittant le réseau public québécois pour pratiquer l’esthétique, notamment les injections de Botox, une industrie lucrative.
La question est posée: comme les études de ces professionnels de la santé sont payées par la collectivité, devrait-on exiger quelques années de service au public de leur part, avant de les laisser aller au privé?
Écoutez le débat à ce sujet, lundi, avec Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez à La commission.