Si les personnalités politiques sont de plus en plus confrontées à la haine et même à de la violence, ce phénomène semble toucher plus particulièrement les élues féminines.
En effet, les cas de harcèlement sont fréquents notamment sur les réseaux sociaux et entraînent des démissions ou poussent des candidates à changer de voie.
Écoutez l'ancienne ministre Monique Jérôme-Forget aborder ce sujet, jeudi, au micro de Marie-Claude Lavallée.
La politicienne pointe du doigt la force des critiques aujourd'hui véhiculées sur les réseaux sociaux.
«C'est clair que moi, si j'étais en politique, sincèrement je ne lirais pas ces réseaux-là, je ne les lirai pas parce que c'est destructif et ce sont des gens souvent qui n'ont aucun intérêt à la politique, simplement pour être vulgaire. Plus souvent qu'autrement être vulgaire, méchant.»