Après la tempête vient le temps de ramasser la neige, mais parfois on ne comprend pas comment c’est structuré.
Pourquoi déneiger un secteur plutôt qu'un autre? Qu’est-ce qui cause du retard dans la planification? Est-ce qu’on a un rôle à jouer?
Écoutez Philippe Sabourin, porte-parole de la Ville de Montréal, et Marie-Eve Tremblay, animatrice de Radio textos, effectuer l'équivalent d'un conseil de ville radiophonique sur le sujet.
Il explique les défis du déneigement, soulignant l'importance de ne pas laisser les véhicules obstruer les opérations, ce qui peut coûter 186$ en frais de remorquage et ralentir l'ensemble du processus.
Sur la question de l'ouverture des écoles en ce mardi, alors que les opérations de déneigement se mettent en place, il souligne que le discours de la ville était limpide et qu'il a souligné à l'occasion d'une trentaine d'entrevues que l'idéal était de profiter du télétravail et d'éviter les déplacements tout au long de la semaine.
Il a par ailleurs lancé un appel aux parents pour assurer la sécurité des enfants dans leurs déplacements vers l'école.
«Il y a un mot d'ordre. Je pense que chacun des parents qui sont capables de le faire [...] Les petits écoliers marcheurs, dans des conditions comme ça, moi je ne les laisserais pas partir tout seul à l'école et je m'assurerai qu'un adulte les accompagne!»