Le président de Fredac Corporation et actionnaire de trois entreprises manufacturières, Frédéric Albert, signe une lettre dans le journal La Presse dans laquelle il estime que le gouvernement caquiste met des bâtons dans les roues chez les entrepreneurs lorsqu'ils recrutent des travailleurs étrangers pour pallier l'actuelle pénurie de main-d'œuvre.
Écoutez le principal intéressé, Frédéric Albert, au micro de Nathalie Normandeau et de Luc Ferrandez, lundi.