La réalisatrice, scénariste et autrice Anaïs Barbeau-Lavalette partage sa vision du monde avec Nathalie Normandeau et Luc Ferrandez à La commission.
«J'ai une foi profonde en l'humanité. Je pense qu'on est capable de grandes et de belles choses. Je pense qu'on fait beaucoup de conneries aussi, ceci dit. Ce qui ne veut pas dire que c'est irréparable. Et je pense, encore là, que la posture de l'espoir est plus courageuse et plus difficile, que la posture du désespoir. Ça fait que j'essaye de la cultiver et de la protéger...»
Anaïs Barbeau-Lavalette évoque son expérience en Palestine, son travail avec les enfants des camps de réfugiés, et son documentaire Si j'avais un chapeau.
L'artiste multidisciplinaire souligne l'importance de l'action citoyenne et de la pression sur les élus, notamment en ce qui concerne les exportations militaires canadiennes vers Israël.