Québec autorisera les demandes anticipées d'aide médicale à mourir dès le 30 octobre, malgré une loi fédérale interdisant cette pratique.
Écoutez Élisabeth Crête expliquer la situation, dimanche, lors de sa revue de presse à l'émission Même le week-end.
«Tel que le Code criminel est formé, on ne peut pas le faire parce que tu dois être capable de donner ton dernier consentement au moment de recevoir l'aide médicale à mourir. Alors, ce que Québec a fait, c'est de contourner la loi pour permettre aux gens de le faire. C'est là où c'est un petit peu spécial au niveau légal, mais en gros, on a annoncé du côté du ministère de la Justice que les procureurs ne vont pas poursuivre les professionnels de la santé qui vont faire des aides médicales à mourir anticipées.»
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