Le feu qui a ravagé une partie du Stade olympique occasionne la fermeture du centre sportif et de l'Institut national du sport pour une période de quatre à six mois, alors que les Jeux olympiques de Paris arrivent à grands pas.
Que vont faire les athlètes? Quelles sont les solutions pour ceux-ci?
Écoutez le chroniqueur sportif Jean-Luc Brassard au micro de Luc Ferrandez sur la question.
«La solution de rechange? Probablement le Claude-Robillard là, on va dire. Mais les piscines ne sont pas à point parce qu'il n'y a pas les bassins de préparation qui sont à côté, mais je pense qu'on peut facilement faire avec. C'est évident que les nageurs qui vont provenir de Toronto et peut-être d'autres endroits qui ont des meilleures installations vont dire: "Bien, amenez-nous ça à Toronto parce que nous, on a le legs des Panam avec des piscines plus modernes et puis on a tout l'équipement pour faire ces qualifications.'' Mais dans des circonstances comme ça, des fois, il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur.»
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