L'accident mortel survenu sur l'autoroute 50 la semaine dernière aurait pu être évité s'il y avait eu un muret de béton entre les deux voies.
C'est ce que croit Sophie Boisjoly, dont la mère, Doris Dubois, a perdu la vie dans un violent accident survenu dans le secteur de Grenville-sur-la-Rouge le 18 mars dernier.
La dame de 68 ans était en route pour aller visiter sa fille et ses petits-enfants à Masson-Angers lorsqu'elle a perdu le contrôle de sa voiture pour une raison inconnue.
Sur nos ondes ce matin, Sophie Boisjoly a lancé un cri du cœur pour que la 50, surmonnée tristement l'autoroute de la mort, soit plus sécuritaire…
Même le coroner m'a mentionné que les chances de survie auraient été beaucoup plus élevées s'il y avait eu, par exemple, un muret de béton au centre. Je ne comprends pas pourquoi ce n'est pas changé encore. C'est illogique pour moi qu'une grosse ville comme Gatineau soit reliée avec cette route là seulement. Je ne devrais pas avoir à passer par Ottawa pour aller à Montréal.