Élyse Gamache-Bélisle est une mère de famille du quartier Villeray, à Montréal, qui amasse des canettes pour payer la mise de fonds nécessaire pour sa première propriété. Le chroniqueur économique Pierre-Yves McSween désire lui rappeler que la fiscalité peut jouer en sa faveur.
Élyse Gamache-Bélisle, qui est locataire, a commencé son projet en 2021, surtout de manière symbolique pour parler d'accès à la propriété. Puis, son projet a pris de l’ampleur. Il a failli dérailler à quelques reprises, mais elle est désormais à mi-chemin de son objectif.
Le problème, c’est que plus elle se rapproche de son objectif, plus le marché immobilier est fou.
En entrevue avec l’animateur Patrick Lagacé, mardi, elle a effectivement affirmé qu’elle a amassé 49,6 % (près de 57 000 $) de son objectif, en soulignant que la hausse des prix des résidences rendait dependant la tâche plus difficile.
Quant à Pierre-Yves McSween, il explique SA solution fiscale...
«Villeray est un quartier qui s’est [embourgeoisé]. C’est moins accessible pour les familles. À titre d’humble comptable, je me suis demandé ce que je pouvais bien faire pour l’aider. Je me suis senti dans un périple. […] Elle veut amasser 115 000 dollars, au total. J’ai calculé qu’elle a récolté 56 500 dollars. C’est de l’argent net. […] Je pense qu’elle peut investir ça pendant 5 ans, dans un CELI. Avec les années, grâce à un placement garanti de 5,2 %, ça devient 72 800$... Ensuite, elle peut mettre annuellement 8000$ dans un CELIAPP…»
Écoutez l’intégralité de la chronique pour connaître l'analyse complète de Pierre-Yves McSween.