Selon elle, la décision de 2020 afin de bannir certaines armes est toujours en vigueur. «En la mettant dans le projet de loi, la liste [entrait] dans le Code criminel. Ça n'aurait pas été la décision d'un conseil exécutif de la retirer. Notre souhait, c'est d'avoir un instrument qui va la rendre difficile à défaire, cette liste», explique Mme Provost.
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