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Travailler en abattoir: «Imaginez la masse de sang qui vous passe sur les mains»

Travailler en abattoir: «Imaginez la masse de sang qui vous passe sur les mains»
Des cochons / La Presse Canadienne

Alors qu’on apprenait la semaine dernière la fermeture d’une usine d’Olymel à Vallée-Jonction, le chroniqueur Jean-François Nadeau philosophe sur ce milieu de travail difficile et sur notre rapport à l’alimentation animale.

Écoutez Jean-François Nadeau, collaborateur à l’émission et chroniqueur au journal Le Devoir au micro de Patrick Lagacé.

«C’est très dur comme travail. Vous êtes munis d’une arme, près des autres, dans l’humidité, dans le froid, le sang et c’est une forme de chaîne de travail, vous le répétez toute la journée le mouvement. C’est 5000 bêtes par jour qui sont abattues à cette usine. Imaginez la masse de sang qui vous passe sur les mains.»

Le chroniqueur souligne que certains travailleurs sont encore hantés par ce travail en usine.

Baisse de salaire, travail éreintant… Mange-t-on trop de viande de toute façon? C’est une question que Jean-François Nadeau lance…

Plus avec Patrick Lagacé

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