«Généralement, quand tu frappes un joueur, tu le piques au vif. Moi, j'étais du genre à me relever le plus vite possible et de regarder celui qui m'avait frappé», raconte l'ancien joueur de la LNH.
L'ex-attaquant évitait de bâtir des relations amicales avec des Québécois, l'été notamment.
«J'ai toujours eu de la misère à rétorquer aux gens que je connaissais. Quand j'étais plus jeune, je n'essayais jamais d'aller dans d'autres centres d'entraînement pour rencontrer d'autres joueurs de la LNH. Je m'en tenais à ma gang de Boisbriand».
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