Les Gatinois ingurgitent en moyenne l'équivalent d'une carte de crédit en plastique par semaine.
C'est ce que Le Droit nous apprenait en fin de semaine.
Ces particules de micro et nanoplastiques sont présentes dans notre environnement, notamment dans l'eau potable.
Un projet de recherche vient d'ailleurs d'être lancé au Cégep de l'Outaouais alors que ces particules peuvent même se retrouver dans notre sang.
Les nano plastiques sont capables de traverser les membranes des cellules. Elles sont absorbés dans notre sang et se retrouvent dans nos organes, ça peut même se rendre jusqu'au cerveau. C'est vraiment une question à laquelle on a besoin de réponses urgentes, soit comment on peut réduire notre exposition aux nano plastiques.